Paris, de nos jours. David, 24 ans, vit au présent. Il jongle entre différents petits boulots et recule, pour un temps encore, l’heure des choix plus engageants. Le cours tranquille des choses vole en éclats quand sa sœur aînée meurt brutalement. Il se retrouve alors en charge de sa nièce de 7 ans, Amanda.
2019
César : Nommé pour le César du meilleur acteur
Nommé pour le César de la meilleure musique écrite pour un film
"Amanda" nous pique au cœur, comme nous cueille la jeune actrice Isaure Multrier, incarnation bouleversante, jusqu’à une épiphanie finale qui la cadre, radieuse, gorgée d’avenir. Les Inrockuptibles
Un mélodrame magnifique sur l’apprivoisement de deux êtres. Télérama
Le cinéma de Mikhaël Hers a souvent affaire au deuil et à la tristesse. Amanda rejoint cette inspiration d’une manière assez radicale, tout en y puisant sans doute un ressort de délicatesse – c’est de toute façon sa manière, rarement aussi limpide et véloce qu’ici. Cahiers du Cinéma
De ce climat de violence et de fragilité, le cinéaste tire une élégance qui lui est propre. Une pudeur qui se manifeste à travers un art de l’ellipse et de la respiration dont on ne peut que lui savoir gré. Le Monde
Mikhaël Mers poursuit son exploration délicate de la persistance du deuil et du chagrin nécessaire à le voir s'évanouir peu à peu dans ce film dense et complexe, parfois un peu bavard, mais fondu en un alliage éminemment touchant d'irréalité et de trivialité. Les Fiches du Cinéma
L'ensemble forme un film d'une infinie tendresse. Ouest France
Si le souvenir des récents traumatismes collectifs habite les images d'"Amanda", ce sont bien les relations intimes d'une petite constellation de personnages à l'épreuve du deuil qui intéressent Hers et qu'il explore avec pudeur et délicatesse. Positif
Un film fragile, mais dans le bon sens du terme. Le Nouvel Observateur
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