Le 31 août 1997, la princesse Diana meurt tragiquement. Dans un premier temps bouleversés, les Britanniques sont rapidement révoltés par l’indifférence apparente de la Reine, drapée dans le silence distant que lui dictent son éducation et son rang. Tony Blair, fraîchement élu, ressent l’onde de choc populaire et pressent qu’elle peut entraîner la chute de la Monarchie. Entre le jeune loup et la vieille lionne, le face à face est inévitable...
2006
Mostra de Venise : Coupe Volpi de la meilleure interprétation féminine (Helen Mirren)
Osella du Meilleur scénario (Peter Morgan)
Nommé pour le Grad Prix du Jury (Stephen Frears)
2007
Oscar : Oscar de la meilleure actrice (Helen Mirren)
Nommé pour l'Oscar du meilleur film
Nommé pour l'Oscar du meilleur réalisateur
Nommé pour l'Oscar du meilleur scénario original
Nommé pour l'Oscar de la meilleure musique
Nommé pour l'Oscar des meilleurs costumes
César :
Nommé pour le César du melleur film étranger
BAFTA : BAFTA Award de la meilleure actrice (Helen Mirren)
BAFTA Award du meilleur film
Nommé pour le BAFTA Award du meilleur film britannique
Nommé pour le BAFTA Award du meilleur acteur dans un second rôle (Michael Sheen)
Nommé pour le BAFTA Award du meilleur réalisateur
Nommé pour le BAFTA Award du meilleur scénario original
Nommé pour le BAFTA Award de la meilleure musique
Nommé pour le BAFTA Award du meilleur montage
Nommé pour le BAFTA Award des meilleurs costumes
Nommé pour le BAFTA Award du meilleur maquillage
The Queen offre une lecture pénétrante de l'événement tout en proposant une comédie de moeurs d'une virtuosité irrésistible. Le Monde
On y verra, dans l'humour et la tendresse plus que dans l'ironie et la méchanceté, une pertinente réflexion sur le pouvoir, où qu'il soit installé, et sur la façon de l'entretenir. Ouest France
Deux mondes s'opposent (...) Frears dépasse cette dichotomie simpliste (...) Le personnage bénéficie de l'interprétation hors pair de Helen Mirren. Positif
(...) Frears (...) fait basculer sa comédie satirique dans un absurde non dénué de grandeur. (...) c'est l'esprit caustique, cynique de Mankiewicz qui plane sur ce conte, sur ce règlement de comptes. Télérama
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