On l’appelle Monsieur Lumière (« Svet-ake »). Dans ce village perdu au milieu des montagnes Kirghizes, loin du pouvoir et de l’économie, il entretient les lignes, trafique parfois les compteurs pour venir en aide aux plus démunis. Coeur ouvert et généreux, il ne leur apporte pas seulement l’électricité : il écoute, conseille, conforte les peines et tempère les disputes conjugales de ces villageois oubliés par la civilisation moderne. Monsieur Lumière a un rêve : construire sur les montagnes des éoliennes pour alimenter toute la vallée en électricité. Mais il va devoir faire face à des hommes puissants et corrompus qui sont les nouveaux maîtres du pays.
2010
Festival de Cannes : Sélection officielle - Quinzaine des Réalisateurs
Ourlé d'un humour tendre et poétique, ce film révèle une grande richesse qui contraste avec la modestie de ses moyens. La Croix
Cette histoire simple, découpée en tableaux, est zébrée d'images puissantes (...). Le Monde
Une comédie sympathique qui épingle les effets (pervers) de la modernité en Asie centrale, où le système D est la norme et où les édiles ont des airs de mafieux. L'Humanité
Aktan Arym Kubat imagine un film sans scénario. Si celui-là apparaît rudimentaire, il révèle néanmoins les maux du Kirghizistan (...). Cela n'empêche pas Arym Kubat de lui livrer une magnifique ode. Libération
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