Beshay, lépreux aujourd'hui guéri, n'avait jamais quitté depuis l'enfance sa léproserie, dans le désert égyptien. Après la disparition de son épouse, il décide pour la première fois de partir à la recherche de ses racines, ses pauvres possessions entassées sur une charrette tirée par son âne. Vite rejoint par un orphelin nubien qu'il a pris sous son aile, il va traverser l'Egypte et affronter ainsi le Monde avec ses maux et ses instants de grâce dans la quête d'une famille, d'un foyer, d'un peu d'humanité...
2018
Festival de Cannes : nommé pour la Palme d'Or (A.B. Shawky)
nommé pour la Caméra d'Or (A.B. Shawky)
[...] ce qu'il y a de formidable dans "Yomeddine", c'est cette envie de montrer une Egypte inédite, loin des clichés cairotes ou touristiques (la seule pyramide qu'on voit, authentique, est inconnue et abandonnée de tous), de transmettre des valeurs fondamentales (comme, bien sûr, le droit à la différence), avec une farouche volonté de divertir. L'Express
Une œuvre simple et tenace comme ses personnages. Le Figaro
Un film touchant, entre road-movie et fable initiatique. Le Parisien
Un beau conte qui se dévoile au fil des routes égyptiennes, sans s'apitoyer sur le sort des lépreux et des Égyptiens en général. Le Point
Plaidoyer pour la compassion et la générosité, mélodrame, critique sociale et comédie, Yomeddine comporte aussi des moments de grâce, d’entraide, de franche rigolade avec ces déshérités méprisés, des scènes oniriques où Beshay demeure hanté par sa famille qu’il n’a pas vue depuis quarante ans. La Croix
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