Une femme et quatre hommes, qui se connaissent à peine, se retrouvent dans un appartement en plein ciel au-dessus de Paris. Ils ont tous été victimes du même pervers dominateur. Ce soir-là, ils décident d’en finir avec cette histoire. Tour à tour, ils se racontent des souvenirs qui les lient à cet homme et entrent dans l’unique chambre de l’appartement pour se confronter à lui. Mais ce qui s’y passe reste leur secret.
Une comédie dramatique qui, comme le promet son titre, vous fera forcément décoller. Closer
Certains reprocheront la non-action du film, son unité de lieu et de temps, mais c’est sa beauté fragile de nous plonger, avec une élégante délicatesse, au cœur de l’émotion de chacun des protagonistes, de les laisser explorer leur propre douleur. La Septième Obsession
Fausse pièce de théâtre, Haut perchés travaille le pastiche. Le film n’est pas sans rappeler l’art vidéo de Pierrick Sorin à la charnière des années 2000 : un univers ludique, peuplé de minuscules silhouettes que le magicien de l’image animait derrière ses plaques de verre. Le Monde
Après avoir rendu hommage à Demy et Varda, le couple Ducastel-Martineau aborde le surréalisme bunuélien. Pas sûr que ce soit leur meilleur port d’attache, la construction du scénario demeurant trop théorique. Mais le film gagne en nuance et complexité grâce à la mise en scène et au charisme, crépusculaire et solaire, des comédiens. Le Nouvel Observateur
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