À la fin du Shiv’ah - les 7 jours de deuil dans la tradition juive - l’existence doit reprendre son cours. Tandis que Vicky, sa femme, se réfugie dans les obligations du quotidien, Eyal, lui, décide de lâcher prise… Avec un ami de son fils défunt, il partage un moment de liberté salvateur et poétique, pour mieux renouer avec les vivants...
2016
Festival de Cannes (Semaine Internationale de la Critique) : Prix fondation Gan à la Diffusion
Nommé pour le Prix Fondation Louis Roederer de la Révélation
Nommé pour le Grand Prix Nespresso
Nommé pour le Prix SACD
Original et inspiré dans son aspect comique, Une semaine et un jour réussit vers la fin un basculement dramatique aussi inattendu qu’émouvant. Cahiers du Cinéma
Une comédie dépressive a ainsi toutes ses chances de devenir un film rempli d’humanité, et un personnage aussi impassible qu’irritable (le père, joué par le comique israélien Shai Avivi) de retrouver une forme acceptable de rapport au réel. Libération
Incroyable mais vrai : on sort de ce film avec le sourire. Positif
Réussir une comédie sur la vie après une mort n’est pas donné à tout le monde, Asaph Polonsky y parvient dès son coup d’essai et avec un ton bien à lui. Retenez son nom. L'Obs
Un film pudique, tout en retenue, qui parle du deuil avec finesse. Le Parisien
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