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Laurent, un commandant de brigade de la gendarmerie d’Etretat, prévoit de se marier avec Marie, sa compagne, mère de sa fille surnommée Poulette. Il aime son métier malgré une confrontation quotidienne avec la misère sociale. En voulant sauver un agriculteur qui menace de se suicider, il le tue. Sa vie va alors basculer.
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Berlinale : Sélection
Au final, Xavier Beauvois signe un grand film, profond, inspirant et impeccablement interprété. Le Parisien
Dans Albatros, la caméra de Xavier Beauvois réussit à attraper le réel sans se grever de grilles idéologiques. Ainsi le spectateur accompagne les paysans et les gendarmes sans que lui soit imposé un regard préconçu sur ces métiers. Sa capacité à saisir les situations avec une manière d'épaisseur documentaire nous semble une qualité distinctive de son cinéma. Transfuge
Jérémie Renier est éblouissant dans ce film où la pudeur de Xavier Beauvois fait des merveilles. 20 Minutes
Loin de tout chantage émotionnel, le naturalisme devient mysticisme. On n’a pas fini de parler du virement de bord effectué par Xavier Beauvois. Il donne toute sa profondeur à ce drame ravageur. La Voix du Nord
Comme un voyage sur le flot des âmes, Albatros tend les bras à une humanité essentielle. Xavier Beauvois, dans ce portrait de gens ordinaires, invite à un regard compassionnel. Le Dauphiné Libéré
Beauvois, qui aurait sans doute pu s’éviter une séquence d’hallucination, n’a pas son pareil pour scruter les âmes en miettes. Il décrit la solitude, le remords, l’incompréhension. Son Albatros a de la force, une puissance qui n’exclut pas les moments d’intimité. Le Figaro
Une mise en scène pugnace et un bouleversant épilogue, comme une lueur de (sur)vie. Le Nouvel Observateur
Albatros est bien plus qu'un drame social, c'est un film sur la solidarité, la culpabilité, la difficulté de se pardonner à soi-même. Le Point
Le réalisateur met en scène un gendarme d’Étretat confronté à la misère sociale, et signe un film intense et émouvant. Marianne
Beauvois est, certes, moins convaincant dans cette deuxième partie qui flirte parfois avec les clichés. Mais son audace à bousculer ainsi son récit, à sortir de sa zone de confort pour prendre le large, ne manque pas de panache. Télérama
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