Londres, 1974. Alors que le Royaume-Uni se prépare à d’importantes coupures d’électricité, Val une infirmière débutante arrive pour son premier jour au sein de l’équipe de nuit d’un hôpital délabré.
La majorité des patients et du personnel ayant été évacués vers un autre hôpital, elle se retrouve presque seule dans ce bâtiment lugubre.
Mais derrière ses murs se cache un lourd secret qui va contraindre Val à affronter ses peurs les plus profondes et à se confronter à une force maléfique.
Ce premier film de fantôme bien ficelé livre un message féministe dans l’air du temps. 20 Minutes
Corinna Faith sait distiller une horreur minimaliste comme on prépare le thé. Elle permet également de découvrir une distribution très intéressante, soulignant l'émergence d'une nouvelle génération d'acteurs britanniques talentueux. By Jove! What a shock ! Le Figaro
Film traitant de la condition des femmes, réalisé par une femme, avec presque uniquement des personnages féminins, « The Power » critique aussi vertement la religion ou le capitalisme sauvage. Le Parisien
Des motifs et thématiques ouvertement gothiques dans cette oeuvre intimiste, pertinente et profondément féministe, servie par une photographie aussi riche que sinistre et une bande-son tour à tour atonale et synthétique, rehaussant avec sensibilité tout le malaise inhérent à son propos et ses personnages à fleur de peau. L'Ecran Fantastique
Tout le trajet de The Power tend alors vers cette chose de cinéma, de cinéphile et de voyeur : discerner les signes dans la pénombre, accueillir les ombres comme des amies, voir et croire. Les Inrockuptibles
Dans un huis clos nocturne, Corinna Faith met en scène un «rape-revenge» d’un nouveau genre. Une réussite. Libération
x Cacher la playlist
Commandes | > | x |
---|---|---|