Abdel Ichah, seize ans est entre la vie et la mort, passé à tabac par un inspecteur de police lors d'un interrogatoire.
Une émeute oppose les jeunes d'une cité HLM aux forces de l'ordre. Pour trois d'entre eux, ces heures vont marquer un tournant dans leur vie...
1996
Césars : César du Meilleur film français de l'année (Mathieu Kassovitz)
César du Meilleur montage (Scott Stevenson, Mathieu Kassovitz)
César du Producteur de l'année (Christophe Rossignon)
Nommé pour la Meilleure réalisation (Mathieu Kassovitz)
Nommé pour le Meilleur acteur (Vincent Cassel)
Nommés pour le Meilleur jeune espoir masculin (Hubert Koundé, Saïd Taghmaoui, Vincent Cassel)
Nommé pour le Meilleur scénario original ou adaptation (Mathieu Kassovitz)
Nommé pour la Meilleure photographie (Pierre Aïm)
Nommés pour le Meilleur son (Vincent Tulli, Dominique Dalmasso)
1995
Festival de Cannes : Prix de la Mise en scène (Mathieu Kassovitz)
Nommé pour la Palme d'Or (Mathieu Kassovitz)
Nommé pour le Grand Prix (Mathieu Kassovitz)
Nommé pour le Prix du Jury (Mathieu Kassovitz)
Nommé pour le Prix du Jury Oecuménique (Mathieu Kassovitz)
Nommé pour le Prix Spécial du Jury (Mathieu Kassovitz)
« La Haine » a pour lui la force et l’énergie de porter le fer dans la plaie et, plus encore, de donner la parole à des personnages qui ne l’avaient guère prise jusqu’à présent, de faire le film à partir d’eux, avec eux, et de leur point de vue à eux. Cahiers du Cinéma
Vous qui entrez, laissez toute inconscience. Vous allez passer vingt-quatre heures survoltées avec un trio pluriethnique de copains d’une cité de banlieue. Le Figaro
La Haine est un film réellement grave et c’est plutôt par la peau du cou que par la main que Kassovitz nous saisit, comme si c’était la seule manière de regarder la merde en face. (…) Libération
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