Maladroit et naïf, Miyamoto, jeune salaryman d’une entreprise de papeterie, tombe amoureux de l’énigmatique Yasuko. Celle-ci utilise Miyamoto pour se débarrasser d’un petit ami indésirable, mais finit par s’attacher au zèle de son admirateur.
Alors que leur relation est mise à rude épreuve, Miyamoto s’enferme dans un cycle d’extrême violence pour sauver son honneur et reconquérir Yasuko.
Une histoire d’amour et de vengeance adaptée du manga culte de Hideki Arai.
On n’avait pas vu ça depuis Tokyo Fist (1995), de Shinya Tsukamoto, ou Kids Return (1996), de Takeshi Kitano : cette rage froide et sans retour, une énergie folle du désespoir, typique d’un certain cinéma japonais des années 1990, depuis mis en veilleuse, telle une grenade que l’on aurait oublié de dégoupiller. Le Monde
Tetsuya Mariko ne transforme véritablement l’essai qu’en dépassant le sujet, cherchant finalement davantage à dresser un portrait cru et sans limite de l’être humain, au sens le plus large. Lâche, faible, dégueulasse, impuissant, pétri de contradictions, luttant avec ses émotions et toujours prêt au pire. Impénétrable, parfois. Désarmant, souvent. Mais toujours terriblement fascinant. Libération
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