Algérie, 1516. Le pirate Aroudj Barberousse libère Alger de la tyrannie des Espagnols et prend le pouvoir sur le royaume.
Selon la rumeur, il aurait assassiné le roi Salim Toumi, malgré leur alliance.
Contre toute attente, une femme va lui tenir tête : la reine Zaphira. Entre histoire et légende, le parcours de cette femme raconte un combat, des bouleversements personnels et politiques endurés pour le bien d’Alger.
2022
Mostra de Venise : en sélection officielle
Rarement un film algérien aura-t-il autant embrassé les nœuds de l’histoire, tant intime que politique, au cœur d’une fresque majestueuse, où la douleur relève de la beauté. D’une ampleur romanesque inouïe, où l’éclat du classicisme côtoie, parfois dans la même scène, le même plan, la modernité la plus aiguisée, La Dernière Reine d’Adila Bendimerad et Damien Ounouri est surtout une œuvre en résonance profonde avec ce qui se joue actuellement en Algérie, mais aussi pour tout un chacun, travaillé par la question de l’engagement. Bande à Part
Un récit aux décors et aux costumes soignés qui brille par sa beauté formelle. Un geste politique aussi. Le Journal Du Dimanche
Ce portrait de femme, qui se découvre un destin politique en même temps qu’elle se rebelle contre la domination masculine, est le cœur palpitant de ce film inclassable, qui tient autant de la tragédie orientalo-shakespearienne que du (très bon) divertissement de cape et d’épée — ou plutôt de voiles et de poignard. Télérama
Une merveille portée par deux cinéastes qui ont cru à juste raison et avec un grain de folie à leur projet : l’histoire d’une femme, celle de la reine Zaphira, qui va s’affirmer dans une époque où le pouvoir est à priori l’apanage des hommes. Cette fresque ouvre une brèche totalement inédite dans le cinéma algérien. aVoir-aLire.com
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