Un soir, seul au volant, le docteur Nariman tente d'éviter un chauffard et renverse une famille en scooter. Il les dédommage pour les dégâts matériels et insiste pour qu'Amir, leur enfant de 8 ans, légèrement blessé, soit conduit à l'hôpital. Deux jours plus tard, à l'institut médico-légal où il travaille, Nariman s'étonne de revoir la famille, venue veiller le corps sans vie d'Amir.
2017
Mostra de Venise : Prix Orizzonti du Meilleur réalisateur
Prix Orizzonti du Meilleur Acteur (Navid Mohammadzadeh)
"Cas de conscience" a cependant les défauts de ses qualités : la virtuosité du scénario se referme comme un piège sur les spectateurs. Quant à la mise en scène, aride et dépouillée, à l’image de la vision pessimiste et tragique du cinéaste, elle semble condamner d’avance les personnages. Pour autant, le film parvient lentement à ses fins : par une forme d’intransigeance et d’âpreté qui ne laissent pas indemne. Le Monde
Avec sa mise en scène inspirée et son regard implacable sur la lâcheté, le déterminisme et l'aveuglement de la machine judiciaire (entre autres), le cinéaste signe une oeuvre puissante et singulière. Positif
Mise en scène d’une angoisse existentielle bourgeoise vs peinture d’une terrible misère sociale. Vahid Jalilvand excelle sur les deux tableaux. Première
(...) c’est très noir, mais aussi captivant. Libération
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