Catalogue - page 1

Affiche du document l'Hôpital des Nounours

l'Hôpital des Nounours

04min58

  • Sciences médicales. Médecine
Cette année encore, Humanice et les étudiants des formations en santé de Nice ont participé à l'Hôpital des Nounours, action de Santé Publique mise en place par les étudiants en médecine de toute la France.
    Elle permet aux enfants de grande section de maternelle et CP, de découvrir le monde de la Santé de façon ludique et pédagogique. La visite de l'Hôpital des Nounours est une sortie des classes à part entière, durant laquelle chaque enfant emmène son nounours malade à l'Hôpital pour le soigner.
À cette occasion, l'enfant parcourt les différents services de l'Hôpital des Nounours, selon les soins nécessaires à sa peluche, et rencontre les différents professionnels de santé, dont le rôle est joué par les étudiants en médecine et ceux des autres filières de Santé, chirurgie dentaire, sage-femme, Kiné, orthophonie et soins infirmiers. 
 Les Nounoursologues recréent les services médicaux : la salle d'attente, la consultation, le poste de soins, le service de radiologie, le bloc opératoire, la pharmacie, etc. L'enfant est orienté vers différents services, au sein de l'hôpital, selon un parcours spécifique à la pathologie de son nounours. Le but de cette opération est la diminution de la crainte et donc de la douleur des enfants lorsqu'ils seront confrontés au monde médical, de nombreuses études ayant montré que les soins, en particulier les soins douloureux, sont mieux acceptés et supportés lorsqu'ils sont compris par le patient.








Faculté de Médecine - Université Nice Sophia Antipolis


- Production :
Faculté de Médecine de Nice
Université Nice Sophia Antipolis

medecine.unice.fr

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Directeur de la publication Pr Patrick BAQUÉ - Directrice de la
production Isabelle CALLEA - Scénario : Jean-Christophe VIALLE -
Emmanuelle DUCHEZ - Réalisation: Jean-Christophe VIALLE


2013
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Affiche du document Les maladies mentales et les dépressions

Les maladies mentales et les dépressions

Jean GUYOTAT

1h12min06

  • Sciences médicales. Médecine
La psychiatrie a connu de 1950 à l'an 2000 des transformations considérables. Quelles en sont les conséquences sur les conceptions et les pratiques actuelles de soins des maladies mentales et des dépressions ? Ce sera le thème de la première partie de la conférence donnée par J. GUYOTAT. Après un bref rappel historique, sera abordée l'influence de la psychanalyse sur la psychiatrie, celle de la psychopharmacologie, celle de l'articulation des psychothérapies et chimiothérapies, notamment dans les dépressions. La deuxième partie présentée par J.L. TERRA sera consacrée à une réflexion prédictive à propos de la schizophrénie, la maladie dépressive, et le suicide comme complication commune. Ces maladies entraînent souvent de lourdes conséquences sociales, presque aussi importantes que la sévérité des symptômes. L'intensité de la souffrance psychique, le désespoir, le sentiment d'inutilité, peuvent conduire vers l'idéation suicidaire et sa concrétisation par un passage à l'acte. Prévenir ce phénomène représentant dans notre pays, plus de 11000 décès chaque année, fait maintenant partie des priorités de santé publique. Améliorer la prise en charge des maladies mentales est une des stratégies les plus efficaces pour atteindre un tel objectif, à condition de bien connaître la trajectoire de vie de ceux qui en souffrent et les points critiques de leur existence.
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Affiche du document SeGaMed 2015 - Stimulation

SeGaMed 2015 - Stimulation

47min43

  • Sciences médicales. Médecine
SeGaMed 2015
Toutes les facettes de la gamification...
Serious games en médecine et santé (SeGaMed 2015)

SeGaMed est un lieu d’expression unique consacré au jeu sérieux en médecine et en santé. SeGaMed est un carrefour de rencontre et d’échange pour la communauté d’acteurs du jeu sérieux spécialisé santé : développeurs, porteurs de projets, industriels, utilisateurs (étudiants, enseignants, patients), chercheurs. En 2015 nous nous intéressons à l’anticipation. Comment identifier les ressorts de l’utilisation d’un jeu pour une problématique individuelle aussi complexe que la santé, le bien-être mais aussi la maladie ? Comment anticiper la lassitude et la prévenir, renforcer la motivation et l’entretenir, faciliter l’accompagnement au changement suggéré par le jeu ? Si l’évaluation est au coeur des préoccupations, les modèles sont encore incomplets.

Stimulation                                
Modérateurs : Philippe Robert & Antoine Seilles
                        
1 - Jérémy Bourgeois, Alexandre Derreumaux, Valeria Manera, Philippe Robert
MeMo : une plate-forme d’exercices cognitifs pour patients et professionnels de santé
                        
2 - Gregory Ben-Sadoun, Guillaume Sacco, Julie Piano, Pierre Foulon, R. David, Philippe Robert
Utilisabilité des jeux vidéo sérieux avec activités physiques et cognitives dans le vieillissement normal, la Maladie d’Alzheimer et les Maladies apparentées
                        
3 - Mikael Cohen
Utilisation d’apps sérieuses dans les maladies neurologiques chroniques



Réalisation audiovisuelle  
Vincent Deffaux, Antoine Sader
Service ICARE, Université Lille 2, Droit et Santé
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Affiche du document La plasticité humaine ou le secret de la performance

La plasticité humaine ou le secret de la performance

Michel RIEU

1h13min30

  • Sciences de la vie, Biologie
  • Sciences médicales. Médecine
  • Art du spectacle, loisirs et sports, jeux
Les thèmes suivants sont successivement abordés :
· Une description sommaire de la « machine animale »,
· Une brève analyse des termes : plasticité humaine et performance,
· Le concept de la préparation à la performance et de l'entraînement physique,
·Un exemple concernant les objectifs et les résultats de l'entraînement en endurance.
1) La machine animale est une machine : à « traiter l'information », « transformer l'énergie » et à « dupliquer le code génétique ». Traiter l'information consiste à capter les signaux provenant d'une part du monde extérieur : c'est le rôle des cinq sens et du système nerveux de la vie de relation ; d'autre part du monde intérieur : c'est le rôle du système neuro-endocrinien (système nerveux autonome et glandes endocrine) responsable de la régulation de la vie végétative et du maintien de l'homéostasie et, plus généralement du vaste système de communication intercellulaire qui fait qu'aucune cellule du corps n'est indifférente au fonctionnement de l'organisme dans son ensemble. Transformer l'énergie revient à transformer, stocker puis, en fonction des besoins, libérer l'énergie potentielle contenue dans les aliments afin que, notamment, puisse se développer les phénomènes mécaniques de la contraction musculaire. Le rendement métabolique est assez faible car environ 80% de cette énergie potentielle est transformé en chaleur. L'ensemble des réactions chimiques qui, à partir des lipides (graisses) et des glucides (sucres), conduisent à produire de l'ATP (Adénosine Triphosphate) dont la dégradation fournit de l'énergie libre, peuvent se dérouler en présence d'oxygène (voies métaboliques aérobies) ou en son absence (voies métaboliques anaérobies). Plus la contraction musculaire est intense plus la consommation d'énergie est importante et plus le débit de renouvellement des molécules d'ATP doit être élevé. Dupliquer l'information génétique contenue dans les chromosomes permet d'orienter et d'accroître la synthèse des protéines de structure et/ou enzymatiques au niveau des organes ou des systèmes fonctionnels sur lesquels s'exercent les contraintes spécifiques de l'entraînement physique.
2) Plasticité et performance On peut définir la plasticité comme la capacité de l'individu à s'adapter à son environnement. Cette faculté d'adaptation possède des limites liées au patrimoine génétique c. à d. au génotype du sujet. La notion de performance dépend de l'activité considérée : du sport individuel (dont les performances sont très référencées) au sport d'équipe (dont le résultat collectif n'est pas le simple reflet des performances individuelles), l'importance accordée aux capacités : fonctionnelles énergétiques, de coordination motrice et mentales varie considérablement dans sa hiérarchie.
3) Dans le cadre de la préparation à la performance, l'entraînement physique a pour but, d'augmenter selon un plan bien déterminé, ces qualités : fonctionnelles (énergétiques), de coordination motrice (techniques), et mentale (lucidité, maîtrise de soi, sens de l'anticipation …). On distingue : - La préparation générale qui a pour objectif d'améliorer la force et l'endurance musculaire, la vitesse d'exécution du geste, la souplesse articulaire, l'efficacité du système cardio-vasculaire et la maîtrise de l'équilibre pondéral. - La préparation spécifique, d'autant plus prédominante que le sujet est expérimenté et la période de compétition proche, comprend la réalisation d'activités physiques analogues à celles pratiquées lors des compétitions. Une analyse détaillée et précise des différentes séquences qui composent ces activités physiques spécifiques ainsi que des qualités requises pour répondre le plus efficacement possible à leur réalisation font partie de l'élaboration d'un plan d'entraînement moderne. L'entraînement forme un tout composé de séances organisées d'exercices, entrecoupées de période de récupération d'une durée déterminée, pendant lesquelles se développent les processus d'adaptation. En fonction du phénotype considéré (par exemple amélioration de la capacité fonctionnelle énergétique aérobie) ces processus présentent des limites qui dépendent du génotype.
4) L'entraînement physique en endurance illustre cette démarche : Il est destiné aux sportifs réalisant des efforts de longue durée (marathon, cyclisme sur route, ski de fond …). Il peut s'agir d'un « entraînement par intervalles » (Interval training) fait d'une succession d'exercices de durée brève et d'intensité élevée ou d'un « entraînement par la distance » constituée d'effort d'intensité plus faible mais maintenus sur une longue durée. L'objectif est d'améliorer les capacités fonctionnelles énergétique aérobie des sujets. Celles-ci dépendent : de l'efficacité du transport de l'oxygène et de son utilisation par les muscles impliqués dans l'exercices considéré ; d'une réduction par ceux-ci, de la consommation du glycogène au profit de celle des lipides ; d'un perfectionnement des mécanismes de la thermorégulation corporelle ; d'une augmentation du rendement mécanique, c. à d. d'une diminution du coût énergétique du travail physique considéré. Ces modifications s'expriment : à la périphérie, par une modification des fibres musculaires concernées dont la vascularisation s'accroît ainsi que leur richesse en mitochondries qui contiennent d'importants enzymes oxydatifs alors que les protéines (notamment l'actine et la myosine) qui entrent dans la composition de leur appareil contractile changent de nature ; au niveau central, par une augmentation du volume cardiaque dont les parois et les cavités ventriculaires s'accroissent. Sur le plan de la coordination motrice des améliorations techniques apparaissent qui dans le cas, par exemple, de la course à pied, tendent à réduire son coût énergétique. La part de l'hérédité dans les capacités adaptatives de l'individu soumis à un entraînement physique est discutée en conclusion de l'exposé.
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Affiche du document L'allergie ou la démesure hypersensible - David Bernard

L'allergie ou la démesure hypersensible - David Bernard

Bernard DAVID

1h18min21

  • Sciences médicales. Médecine
"On estime qu'il existe en France 10 millions de sujets atteints de maladies allergiques dont les ¾ (soit environ 15% de la population) sont des allergies respiratoires. On compte 2000 décès par asthme sévère chaque année. En réalité, le terme ""allergie"" correspond à un état d'hypersensibilité de l'organisme dont la fonction première est de réagir contre des substances étrangères par des mécanismes immunologiques très élaborés. Cette réaction de défense qui a pour but de protéger l'organisme contre une agression spécifique peut, outrepasser son rôle (bénéfique) et devenir excessive favorisant alors l'expression pathologique de l'allergie. Les manifestations cliniques les plus fréquentes sont respectivement les rhinites polliniques et perannuelles, l'asthme, la dermatite atopique, l'urticaire et le choc anaphylactique. L'expression des manifestations allergiques est étroitement liée à la génétique et à l'environnement. En effet, les agents responsables d'un état allergique font partie de notre environnement naturel et correspondent à des substances non toxiques continuellement présentes et habituellement bien tolérées par la majeure partie des individus mais qui deviennent des allergènes (pollens, acariens, poils d'animaux, aliments) chez les patients allergiques. D'autres facteurs environnementaux (infections virales, tabagisme passif, pollution) peuvent intervenir en amplifiant la réponse inflammatoire au niveau des voies respiratoires chez des sujets allergiques."
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Stress, adaptation et développement

Roland JOUVENT

1h15min50

  • Psychologie
  • Sciences médicales. Médecine
Conférence du 8 février 2000 par Roland Jouvent.
En trente ans, les sciences du cerveau ont considérablement progressé. Cette avancée tient à l'émergence successive de deux grands domaines, la neurobiologie et les sciences cognitives. Ces Neurosciences de la Cognition se trouvent érigées au rang de corpus théorique de référence ; la psychiatrie et la psychopathologie expérimentale sont parmi les premières disciplines concernées. En réussissant à se dégager de toute ambition théorique hégémonique, la psychologie cognitive et les neurosciences ont su leur offrir une nouvelle opérationalité.
De nouvelles méthodologies laissent augurer une première approche fonctionnelle du cerveau, voire du fonctionnement de l'esprit. A partir de différents exemples concernant des situations normales (stress maternel, effets de l'âge sur les conséquences du stress) et pathologiques (anxiété, trouble obsessionel-compulsif, dépression), nous développerons l'idée d'une double continuité, phylogénétique et développementale.
Si l'acquisition d'un néo-cortex et d'un langage a pu permettre à l'homme d'apprendre à utiliser des représentations d'actions en lieu et place des actes moteurs, et si la valeur adaptative de cette nouvelle compétence est énorme, il n'en ressort pas moins que nombre de troubles psychopathologiques trouvent sinon leur origine du moins leur expression primaire dans la partie moins évoluée, sous-corticale de l'être humain. De notre capacité à gérer l'animal en nous, dépend notre destin adaptatif et développemental.
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Conscience et cerveau

Michel IMBERT

1h28min44

  • Psychologie
  • Sciences médicales. Médecine
Conscience et cerveau font aujourd'hui bon ménage. Il n'en a pas toujours été ainsi. A une longue période d'indifférence, suivie d'un temps d'hostilité affichée, fait suite aujourd'hui une idylle grosse de promesses mais riche d'obscurité, de confusions et d'illusions. Le nombre de livres publiés par des philosophes, psychologues, neurobiologistes, physiciens ou mathématiciens (et j'en passe), le nombre de colloques ou de numéros spéciaux de revues consacrés aux relations entre cerveau et conscience est simplement confondant.
Cet engouement vient, pour une grande part, des recherches sur le cerveau lui-même. Il vient surtout de la mise en évidence de dissociations spectaculaires entre ce qu'un patient, souffrant d'une lésion cérébrale circonscrite, est capable de réaliser, sans en avoir la moindre idée, grâce à des capacités de percevoir, de mémoriser, de choisir et arranger l'information pertinente pour réaliser un geste, saisir un objet, éviter un obstacle, être ému par un visage familier. Autant de comportements qu'il exécute sans savoir comment, mais dont il aurait été pleinement conscient sans sa lésion cérébrale. On peut aller jusqu'à dire que toutes les compétences cognitives, y compris les compétences sémantiques, peuvent être, jusqu'à un certain point, réalisées sans que le sujet en ait conscience.
Cette forme de conscience constitue ce que certains auteurs appèlent le problème facile de la conscience, en ce sens qu'une explication en termes de fonctionnement cérébral ne pose pas de problèmes insurmontables. Il n'en va peut-être pas de même de la conscience au sens d'expérience subjective, strictement privée et toujours faite à la première personne ; cet aspect de la conscience constituerait, en revanche, un véritable défi à toute explication scientifique.
Nous nous proposons de passer en revue un certain nombre d'arguments, pris notamment dans le domaine de la perception visuelle, qui établissent des corrélations fortes entre le fonctionnement de régions cérébrales localisées et la conscience que nous avons de ce que nous voyons et de ce que nous ressentons lorsque nous voyons.
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Affiche du document Voir le cerveau penser

Voir le cerveau penser

Denis LE BIHAN

1h16min21

  • Sciences de la vie, Biologie
  • Sciences médicales. Médecine
  • Génie et activités connexes
L'imagerie par Résonance Magnétique (IRM) permet depuis une vingtaine d'année de produire des images de l'anatomie ‘statique' du cerveau, c'est-à-dire des coupes virtuelles montrant les détails des structures cérébrales (matière grise, matière blanche) avec une précision millimétrique. Cette imagerie ‘anatomique' est utilisée par les radiologues pour la détection et la localisation de lésions cérébrales. Plus récemment, l'IRM est aussi devenue ‘fonctionnelle' (IRMf), montrant l'activité des différentes structures qui composent notre cerveau. L'imagerie neurofonctionnelle par IRMf repose sur deux concepts fondamentaux. Le premier, soupçonné depuis l'Antiquité mais clairement mis en évidence au siècle dernier par les travaux du chirurgien français Paul Broca, est que le cerveau n'est pas un organe homogène, mais que chaque région est plus ou moins spécialisée dans sa fonction. Le deuxième, suggéré par l'anglais Sherrington à la fin du siècle dernier, est que les régions cérébrales actives à un moment donné voient leur débit sanguin augmenter. C'est cette augmentation locale et transitoire de débit sanguin, et non directement l'activité des neurones, qui peut être détectée par l'IRMf et par la caméra à émission de positons (autre méthode d'imagerie neurofonctionnelle). En pratique, il suffit donc d'acquérir des images représentant le débit sanguin en chaque point de notre cerveau quand il exécute une tâche particulière (motrice, sensorielle, cognitive,...) et dans une condition de référence neutre. A l'aide d'un traitement informatique de ces images, on peut extraire les régions cérébrales pour lesquelles le débit sanguin a changé entre la condition de contrôle et l'exécution de la tâche et en déduire que ces régions ont participé à cette tâche. Ces régions sont reportées en couleurs sur l'anatomie cérébrale sous-jacente. Bien que l'imagerie neurofonctionnelle, aujourd'hui, ne permette pas de descendre à l'échelle des neurones, les exemples rassemblés dans ces pages tendent à montrer que les circuits cérébraux utilisés par l'activité de ‘pensée' sont communs avec ceux utilisés par des processus de perception ou d'action réels. Ce résultat n'est pas surprenant a priori, si on considère que certaines formes de pensée (créer et voir une image mentale, imaginer une musique, inventer une histoire, évoquer des souvenirs...) ne sont autres que des simulations ou reproductions internes d'évènements que nous avons vécus ou que nous pourrions vivre. Au delà de l'identification des régions impliquées dans les processus cognitifs, des travaux en cours laissent présager qu'un jour nous pourrions peut-être même avoir accès en partie à la nature de l'information traitée par les différentes régions de notre cerveau, et donc, d'une certaine manière, à une petite fraction du contenu de nos pensées...
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