Documents pour «voyages»

Documents pour "voyages"
Affiche du document Inde du Nord

Inde du Nord Delhi - Agra (Taj Mahal) - Rajasthan

De Jacques Vichet

51min44

  • Documentaire
  • Histoire
  • Nature et Découvertes
  • Géographie
Le Rajasthan est l'Etat le plus coloré d'Inde. Ses paysages rudes, moitié déserts, moitié collines, offrent un contraste fascinant avec les teintes étincelantes des vêtements locaux. L'Etat regorge de cités magiques : Jodhpur et ses maisons bleues, Jaipur qui décline l'ocre rose, Jaisalmer, forteresse de sable doré, Udaipur, ponctuée de palais blancs, ou Pushkar, blottie autour de son lac sacré. Capitale de l'Inde, Delhi est différente des autres grands centres urbains du pays. Ville de commerce et de gouvernement, Dehli est divisée entre New Dehli, dont la population est relativement aisée, et Old Delhi, bruyante et agitée. Le Fort Rouge, la grande mosquée, le Gurudwara Sis Ganket et de nombreux autres monuments côtoient les rues étroites et bondées des villes de l'Inde traditionnelle. Première destination touristique de l'Inde, Agra possède parmi les plus beaux monuments de l'Inde, dont le célèbre Taj Mahal... A proximité immédiate des Jardins du Taj Mahal, le Fort Rouge d'Agra, monument significatif du XVIIème siècle moghol, est une puissante citadelle de grès rouge enserrant dans son enceinte de 2,5 km de périmètre la ville impériale, avec un grand nombre de palais féeriques, comme le palais de Jahangir ou le Khas Mahal, bâti par Shah Jahan, des salles d'audience, comme le Diwan-i-khas, et deux très belles mosquées.
Forfait
Affiche du document Mexique

Mexique Les villes coloniales du sud de Mexico

De Jacques Vichet

52min22

  • Documentaire
  • Histoire
  • Géographie
Elles sont les témoins architecturaux de la fusion des cultures indigène et espagnole. Les villes coloniales du Mexique se concentrent dans la région centrale. Perché à plus de 1500 mètres d’altitude, Oaxaca est un joyau architectural du Mexique. Son centre-ville, dans un style colonial, marie les couleurs les plus voyantes et font du lieu un endroit chaleureux et vivant. Centre culturel du Mexique, ce sont des écoles de théâtre, d’art plastique, de lithographie qui campent les lieux. Puebla, la ville des Anges, est créée par les espagnols en 1531. Cette origine se ressent dans l’architecture des bâtiments, des églises, des écoles… Le zócalo, ou Plaza de la Constitucion, a été classé patrimoine mondial par l’UNESCO en 1987. La cathédrale de Puebla est la plus haute du pays et cristallise les différentes influences architecturales. Entre Renaissance et néoclassicisme, les styles se mêlent pour donner lieu à un véritable joyau. San Cristobal de la Casa est la plus vieille cité espagnole du Chiapas. La rue d’Andador Eclesiastico traverse la ville du nord au sud, démarrant avec le Templo de Carmen, au style mauresque, pour aboutir à Santo Domingo. Les couleurs font la particularité de la ville et la célèbre cathédrale de San Cristobal de las Casasne ne déroge pas à la règle en affichant des teintes enluminées sur ses façades. Taxco est une ville coloniale pleine de surprises. Ce charmant village verdoyant semble paisiblement perdu dans les montagnes.
Forfait
Affiche du document Le touriste - Jean Didier URBAIN

Le touriste - Jean Didier URBAIN

Jean Didier URBAIN

1h30min31

  • Sociologie et anthropologie
Bien que tôt reconnu dans son ampleur sociale et économique, à travers ledit « phénomène » touristique et la précoce « industrie » du tourisme qu'il a suscités, le touriste a cependant été longtemps un « célèbre inconnu ». Malgré son nombre et sa valeur marchande, qui ont fait de lui un « objet » de commerce, le touriste a été ignoré dans sa raison d'être : méconnu dans sa complexité, ses désirs, leur diversité et leurs métamorphoses. D'une part, le touriste a été repoussé dans la caricature par un mépris séculaire, que fonde une idéologie du negotium mettant en avant son inutilité, sa futilité, sa stupidité, voire sa nocivité et sa morbidité, image que divers portraits –robots n'ont pas concouru à dissoudre. Et, d'autre part, il a été réduit au statut de consommateur de mobilités, d'espaces, de lieux, d'activités et de cultures, que fonde une banalisation marketing, tendant toujours à simplifier son état à une question de canalisation et de manipulation par l'offre. Et le « sujet » dans cette affaire ?
En marge du phénomène et du marché touristiques, il a été comme oublié ! C'est donc lui qu'on évoquera, à travers ses imaginaires, ses demandes, ses modèles, ses paradoxes et ses tendances récentes. Le tourisme est un symptôme de société et le touriste son expression sensible. A l'heure de la mondialisation, de l'internationalisation et du cosmopolitisme, en lui se récapitulent les rapports mutants à l'existence : à l'ailleurs et au chez-soi ; à l'autre et au monde ; aux siens et aussi à soi – avec leurs conséquences...
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